Son
nom vient d'Adrien Baysselance, maire de Bordeaux et pyrénéiste,
président de la section bordelaise du Club alpin français en 1878, qui
prit l'initiative de sa construction en 1899. Construit en pierres,
selon la technique ogivale, comme son aîné le refuge de Tuquerouye :
construction massive en voûte ogivale ayant pour but de fournir un abri
pour la nuit, matériaux pris sur place, peu d'ouvertures,
l'agrandissement ultérieur se faisant en prolongeant longitudinalement
ou en croix… il a été conçu avec la participation d'Henry Russell et de
Joseph Vallot. Il a été maintes fois remanié et agrandi (la dernière
fois en 2001), il ne subsiste que peu de chose de la construction
originelle, mais son style original a été conservé.
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